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« Vive le président du conseil Trump ! La république socialiste d'Amérique entre dans une nouvelle ère » : l'acquisition de 10 % d'Intel par l'administration Trump via le CHIPS Act se transforme en bataille

Le , par Stéphane le calme

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« Vive le président du conseil Trump ! La république socialiste d'Amérique entre dans une nouvelle ère » :
l'acquisition de 10 % d'Intel par l'administration Trump via le CHIPS Act se transforme en bataille entre la Maison-Blanche et la Californie

Le 22 août 2025, quelques jours après l'annonce d'une négociation pour l'acquisition de 10 % d'Intel par l'administration Trump, l'entreprise a confirmé un accord retentissant : le gouvernement fédéral américain, via l’administration Trump, a acquis 9,9 % du capital de l’entreprise, soit un investissement de 8,9 milliards de dollars. Cet achat, s’ajoutant à plus de 11 milliards de subventions et prêts issus du CHIPS Act et du programme Secure Enclave, propulse l’État dans une position d’actionnaire de référence, même si sa participation reste officiellement passive.

Il ne s’agit pas d’un simple soutien ponctuel : c’est une entrée directe de l’État fédéral dans le capital d’un géant du semi-conducteur, symbole de la puissance technologique américaine et acteur stratégique au cœur des tensions géopolitiques mondiales.


Intel a accepté de vendre aux États-Unis une participation de 10 % dans la société, a annoncé Donald Trump lors d'une conférence de presse vendredi. La participation américaine vaut 10 milliards de dollars, a déclaré Trump, confirmant que l'accord avait été conclu à la suite de ses discussions avec le PDG d'Intel, Lip-Bu Tan.

Citation Envoyé par Intel
Intel Corporation a annoncé aujourd'hui avoir conclu un accord avec l'administration Trump afin de soutenir le développement continu du leadership américain dans les domaines de la technologie et de la fabrication. Selon les termes de cet accord, le gouvernement américain investira 8,9 milliards de dollars dans des actions ordinaires d'Intel, reflétant ainsi la confiance que l'administration accorde à Intel pour faire progresser les priorités nationales clés et le rôle crucial que joue l'entreprise dans le développement de l'industrie nationale des semi-conducteurs.

La participation du gouvernement sera financée par les 5,7 milliards de dollars restants des subventions précédemment accordées, mais non encore versées, à Intel dans le cadre de la loi américaine CHIPS and Science Act et par les 3,2 milliards de dollars accordés à l'entreprise dans le cadre du programme Secure Enclave. Intel continuera à respecter ses obligations au titre du programme Secure Enclave et a réaffirmé son engagement à fournir des semi-conducteurs fiables et sécurisés au ministère américain de la Défense. Cet investissement de 8,9 milliards de dollars s'ajoute aux 2,2 milliards de dollars de subventions CHIPS qu'Intel a reçus à ce jour, ce qui porte l'investissement total à 11,1 milliards de dollars.
Si l’opération a une telle portée, c’est parce qu’Intel ne se limite pas à être un fabricant de processeurs :
  • L'entreprise conçoit et produit des semi-conducteurs avancés sur le sol américain.
  • Ses activités de fonderie (Intel Foundry) sont perçues comme l’alternative nationale aux géants asiatiques comme TSMC (Taïwan) et Samsung (Corée du Sud).
  • Ses recherches sur le calcul haute performance, l’IA, la sécurité des architectures et les puces quantiques sont considérées comme stratégiques pour la défense et la compétitivité économique.

Dans ce contexte, l’entrée de l’État au capital peut être vue comme un acte de protection nationale, visant à garantir que le savoir-faire critique reste sous influence américaine.

Citation Envoyé par Donald Trump
C'est un grand honneur pour moi d'annoncer que les États-Unis d'Amérique détiennent et contrôlent désormais 10 % d'INTEL, une grande entreprise américaine qui a un avenir encore plus incroyable. J'ai négocié cet accord avec Lip-Bu Tan, le très respecté directeur général de la société. Les États-Unis n'ont rien payé pour ces actions, qui sont désormais évaluées à environ 11 milliards de dollars. Il s'agit d'un excellent accord pour l'Amérique, mais aussi pour INTEL. La fabrication de semi-conducteurs et de puces de pointe, qui est l'activité d'INTEL, est fondamentale pour l'avenir de notre nation. RENDONS À L'AMÉRIQUE SA GRANDEUR ! Je vous remercie de votre attention.

Trump prévoit de contacter les entreprises ayant bénéficier du CHIPS Act qui n'ont pas augmenté leurs investissements aux États-Unis

Trump avait précédemment appelé Tan à démissionner, accusant le PDG d'avoir des liens « préoccupants » avec le Parti communiste chinois. Au cours de leur rencontre, le président a déclaré que Tan « était venu dans l'intention de conserver son poste et qu'il avait fini par nous donner 10 milliards de dollars pour les États-Unis ».

« Je lui ai dit : "Je pense que ce serait une bonne chose d'avoir les États-Unis comme partenaire". Il a accepté, et ils ont accepté de le faire », a déclaré Trump. « Et je pense que c'est une excellente affaire pour eux. »

Selon certaines sources, le secrétaire au Commerce Howard Lutnick aurait insisté pour que les États-Unis acquièrent des participations importantes dans divers fabricants de puces électroniques tels qu'Intel en échange d'un accès au financement déjà approuvé dans le cadre du CHIPS Act. En début de semaine, le sénateur Bernie Sanders (I-Vt.) a apporté son soutien à ce projet, soulignant que « si les fabricants de micropuces réalisent des bénéfices grâce aux généreuses subventions qu'ils reçoivent du gouvernement fédéral, les contribuables américains ont droit à un retour sur investissement raisonnable ».

Cependant, Trump ne semble pas avoir l'intention de chercher à acquérir des parts dans toutes les entreprises auxquelles les États-Unis ont accordé un financement CHIPS. Il prévoit plutôt de ne contacter que les fabricants de puces qui ne s'engagent pas à augmenter leurs investissements aux États-Unis. Par exemple, un responsable gouvernemental, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a déclaré vendredi au Wall Street Journal que « l'administration ne cherche pas à acquérir des parts dans des entreprises comme TSMC qui augmentent leurs investissements » aux États-Unis.

Ce plan à deux volets, qui pourrait mettre fin à la tentative de Trump de faire échouer le CHIPS Act, pourrait avoir été élaboré après que Trump ait commencé à s'attendre à une certaine opposition à l'accord avec Intel. Il semble que TSMC n'ait pas été très réceptive à l'idée de vendre aux États-Unis une participation dans son activité de fabrication de puces uniquement pour conserver le financement du CHIPS Act, selon le WSJ.


Un paradoxe politique : capitalisme d’État à l’américaine ?

Officiellement, l’administration Trump se défend de vouloir intervenir dans la gouvernance d’Intel. Le gouvernement ne dispose pas de siège au conseil d’administration et s’est engagé à voter comme la direction d’Intel sur la plupart des décisions. Pourtant, l’accord prévoit aussi un warrant de cinq ans permettant d’acheter 5 % supplémentaires si Intel venait à céder sa branche fonderie.

Cette subtilité introduit une ambiguïté : même sans contrôle direct, Washington se réserve la possibilité d’influer sur l’avenir stratégique de l’entreprise.

Ironie de l’histoire : alors que les républicains fustigent souvent l’« interventionnisme étatique », l’administration Trump engage ici une politique proche du capitalisme d’État, une démarche que l’on associe plus volontiers à la Chine ou à certains pays européens.

Gavin Newsom, le gouverneur de la Californie, s'érige en « meme-lord »

L’accord aurait pu rester cantonné au domaine économique et industriel, mais le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a décidé de transformer l’événement en bataille symbolique et culturelle. Selon Barron’s, il s’est mué en « meme-lord », inondant les réseaux sociaux de messages sarcastiques visant Trump et ses partisans.

Avec des slogans détournés comme « All Hail Chairman Trump ! » ou encore des montages comparant l’administration à une république socialiste, Newsom joue sur la corde de l’ironie : il présente l’opération Intel comme une nationalisation déguisée, en totale contradiction avec l’orthodoxie conservatrice.

Ce trolling a provoqué l’ire des républicains, qui dénoncent une moquerie déplacée et une tentative de détourner le débat économique vers un terrain idéologique. Mais il a aussi rencontré un large écho auprès d’une partie de l’opinion, rappelant que la tech, bien plus qu’un secteur économique, est devenue un terrain de confrontation politique et culturelle.


Hyperboles en majuscules, accusations extravagantes et orthographe singulière : ce n'est pas seulement un mercredi comme les autres sur le fil d'actualité Truth Social de Donald Trump, mais une nouvelle stratégie médiatique numérique du gouverneur de Californie Gavin Newsom qui ravit les démocrates et irrite les républicains. Newsom, pressenti pour l'investiture démocrate à la présidentielle de 2028, parodie Trump avec une série de messages rédigés dans le style caractéristique du leader républicain, dans l'espoir de montrer à son parti comment battre le maître des réseaux sociaux à son propre jeu.

Ces dernières semaines, le gouverneur a publié toutes sortes d'images manipulées le représentant dans le genre de vignettes exagérées populaires parmi le mouvement « MAGA » de Trump, superposant son visage sur le mont Rushmore et apparaissant en train de prier avec les favoris du MAGA Tucker Carlson, Kid Rock et Hulk Hogan.

Lorsque le message d'un seul mot publié par Trump pendant le week-end, disant simplement « Bela », a laissé les partisans du président perplexes, Newsom a publié une capture d'écran accompagnée de sa propre légende : « DONALD (PETITES MAINS) A ÉCRIT SON AUTOBIOGRAPHIE CE MATIN — MALHEUREUSEMENT (FAIBLE QI), IL L'A MAL ÉCRITE — « BETA ». »

Le démocrate de 57 ans s'est moqué du style rhétorique de vendeur de Trump dans un message sur les plans de redécoupage électoral qui, selon lui, ont conduit « BEAUCOUP » de gens à l'appeler « GAVIN CHRISTOPHER "COLUMBUS" NEWSOM (À CAUSE DES CARTES !) ».

Il a également pris l'habitude de terminer ses messages par la formule très moquée que Trump, 79 ans, a rendue célèbre : « MERCI DE VOTRE ATTENTION SUR CETTE QUESTION ! ».

Ces tweets ont rapidement gagné en popularité parmi les partisans de Newsom, qui ont partagé leurs propres mèmes « trumpiens » représentant Newsom torse nu, les muscles saillants, brandissant des pistolets ou partant au combat sur un vélociraptor.

Le gouverneur a qualifié les diatribes nocturnes de Trump sur les réseaux sociaux de « pathétiques », déclarant à l'historienne et animatrice de podcast Heather Cox Richardson que des personnes qui « ne supportent pas » habituellement les politiciens l'avaient contacté pour le féliciter de sa nouvelle approche.

« Et ils prêtent peut-être attention à l'immaturité de Donald Trump, que nous avons laissé normaliser : sa façon de communiquer, de nous parler avec condescendance, de nous ignorer », a déclaré Newsom.

« J'ai des enfants, et j'ai toute une génération de personnes qui pensent que c'est normal. Ce n'est pas le cas, et cela ne peut pas être normalisé, et c'est en grande partie ce contre quoi nous nous battons également. »

Ces publications attirent l'attention de l'algorithme de X tout en suscitant la colère des républicains, des commentateurs politiques conservateurs et des médias de droite.


Impact pour l’industrie IT et les professionnels

Pour les spécialistes de l’informatique et du numérique, cette prise de participation soulève plusieurs enjeux majeurs :
  • Stabilité et financement : grâce à cet apport, Intel dispose de liquidités renforcées pour accélérer sa modernisation, notamment dans la construction de méga-fabs aux États-Unis.
  • Concurrence mondiale : l’accord pourrait relancer la rivalité avec TSMC et Samsung, tout en envoyant un signal clair à l’Europe et au Japon qui tentent aussi de sécuriser leurs chaînes de production.
  • Innovation stratégique : la coopération État-Intel pourrait orienter les investissements vers des domaines cruciaux : IA embarquée, cybersécurité matérielle, électronique pour la défense.
  • Précédent dangereux ? : si d’autres entreprises stratégiques sollicitent une entrée de l’État à leur capital, on pourrait assister à une vague de « nationalisations partielles », brouillant les repères traditionnels du marché libre.

L’emballement autour du slogan « Chairman Trump » illustre bien la fracture entre la perception et la réalité.
  • La perception : pour ses opposants, il s’agit d’un pas vers une économie dirigée, un paradoxe liberticide.
  • La réalité : dans les faits, Intel reste une entreprise privée indépendante, et l’État agit surtout comme investisseur-garant.

Mais l’histoire montre que les symboles comptent autant que les faits : voir Washington devenir actionnaire d’Intel constitue déjà un précédent qui rebat les cartes du rapport entre l’État et la Silicon Valley.

Conclusion

La prise de participation de l’administration Trump dans Intel est bien plus qu’un simple investissement financier. C’est un signal stratégique envoyé au monde : les États-Unis sont prêts à franchir les limites du dogme libéral pour préserver leur leadership technologique.

Entre souveraineté industrielle, polémique politique et sarcasmes médiatiques, l’événement révèle une vérité profonde : l’avenir des semi-conducteurs, et donc de l’informatique mondiale, ne se jouera pas seulement dans les laboratoires de R&D, mais aussi dans les arènes politiques et culturelles.

« Chairman Trump », moqué par Newsom, pourrait bien rester comme le symbole d’une ère où le politique a repris la main sur la technologie.

Sources : Intel, Donald Trump, Gavin Newsom

Et vous ?

L’État américain qui devient actionnaire d’Intel : est-ce une mesure de protection nécessaire face à la dépendance à l’Asie, ou une dérive vers un modèle de capitalisme d’État ?

Peut-on encore parler de « marché libre » quand l’État devient un investisseur direct dans une entreprise privée stratégique ?

Cet investissement américain dans Intel pourrait-il inciter la Chine à renforcer son soutien direct à ses propres champions technologiques (à l'instar d'Huawei) ?

Les « mèmes » et le trolling de Gavin Newsom : simple provocation humoristique, ou véritable stratégie politique pour influencer le débat public ?

L’Europe, qui tente déjà de relancer sa filière des semi-conducteurs avec le European Chips Act, doit-elle imiter les États-Unis et prendre des participations directes dans des entreprises stratégiques ?

Cette intervention ouvre-t-elle la porte à une nouvelle forme de « guerre froide technologique », où chaque État se dote de champions semi-publics pour sécuriser sa souveraineté numérique ?
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Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 24/08/2025 à 15:53
En même temps il n'y a pas d'autres solution, intel ne doit pas couler.
Et la revente à d'autres acteurs américain (nvidia, ms, apple...) ne ferait que les faire grossir encore plus et mettrait en danger la concurrence.

le x86 est nécessaire, c'est l'architecture cpu la plus performante au monde et bénéficiant au moins de 40ans de compatibilité informatique, laisser amd seul serait une catastrophe.
la majorité des entreprises aux usa et dans le monde y dépendent.

la partie fonderie est nécessaire pour assurer l'avenir du peuple américain, si taiwan se fait envahir il serait encore plus fou pour les américain d'y envoyer des troupes. Mieux faut exploser l'ile et laisser les chinois mourir par millions et y dépenser des milliards pour récupérer un tas de caillou stérile.

Samsung foundry à la même problématique, aucun clients (enfin trop peu) pour être rentable, à mesure que la finesse se réduit, es couts deviennent exponentiel, samsung bénéfice depuis toujours du soutient du gouvernement de la corée du sud.
Le japon même chose avec le projet Rapidus et des milliards d'argent publique.

L'union européenne, comme toujours avec les projets stratégique rien, enfin si y'a eu une belle com apres covid, des milliards ont été distribué a quelques privilégié corrompue et le plan a fait plouf. Merci, a plus tard pour le prochain grand plan de pillage de vos impots.
ST Micro a d'ailleurs du licencié récemment tellement les entreprises européenne préfère consommer du chinois/taiwainais/américain.
Comme dit la devise française: Je ne dirais pas que c'est un échec : ça n'a pas marché

Finalement, en comparaison du désastre Chips Act européen, des investissements publiques massifs de la chine, Corée du sud, et japon, Trump en ne mettant que 10 milliards est la grande puissance mondial qui va dépenser le moins et obtiendra un très bon ROI.
Intel qui pour rappelle et au même niveau que TSMC sur le plan technologique, on parle que de 1ans max de retard niveau finesse.
Les lunar Lake sont plus performant et consomme moins que le meilleurs snapdragon desktop de qualcomm, et sont du même niveau que les apple M3 et soc pour ultra portable d'amd pour le ratio perf/conso.

Quelques commande publique de l'armée auprès d'intel, quelques pressions téléphonique a Tim cook et Jensen Huang pour produire une partie chez intel, ça donnera comme Spacex, une entreprise d’excellence et "rentable" via l'argent publique et le marché intérieur usa.
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Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 24/08/2025 à 19:06
Citation Envoyé par marsupial Voir le message
Faux : Apple l'a prouvé avec Apple Silicon...
pas vraiment non, lunar lake est similaire à Apple Silicon pour le ratio conso/perf.
Apple silicon on l'attends sur la performance. Tous les pc/pc portable qui demande plus de perf, workstation d'entreprise, pc gaming, serveur, hpc tourne sur du x86, (arm est anecdotique). Apple avec ces puces c'est un marché de niche.
Enfin apple c'est un environnement très fermé qui devient tres tres vite limitant, tant le hardware que l'os mac os.
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 24/08/2025 à 19:16
L’avenir nous le dira, mais l’architecture ARM a vraiment de bons atouts… et côté serveurs, Debian, Ubuntu et RedHat supportent cette architecture (avec des charges PHP, Java…) donc le coté software legacy aura moins de poids. Wait&see, mais Intel risque d’avoir du mal à concurrencer très longtemps.
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